+ Recherche avancée
+ Login
+ Newsletter
 
 
> accueil > tests
Partagez cet article  
Heavenly Sword
  PHOTOS
 
 
  Note générale
GamesUP.ch
7/10
  Note générale
lecteurs
Non noté
  Testé sur
 
PlayStation 3
Sur PlayStation 3

Les

+

> Combos sophistiqués et impressionnants
> Combats fluides
> Personnages charismatiques
> Expressions des visages
> Modélisation des personnages
> Détails peaufinés
> Décors somptueux et gigantesques
> Superbe réalisation même avec un écran simple
 

Les

> Trop linéaire
> Répétitif
> Vite lassant
> Temps de chargement trop long
> Bugs d’affichages
> Pas de saut
> Ennemis clonés
> Séquences au Sixasis agaçantes
> Arènes fermées

Heavenly Sword est basé sur l’histoire de Nariko, une héroïne aux longs cheveux rouges dont le destin est maudit cherchant à venger son peuple, un clan de guerriers en partie anéanti par le tyrannique roi Bohan. Annoncé comme l’une des plus grosses tueries de la PlayStation 3 et digne successeur de God of War lors de l’E3 2006, Heavenly Sword vous plonge dans une lutte sans précédent, grisante et épuisante dans un monde où seul le plus fort survie.

Destinée à mourir

Si Nariko était née garçon, la prophétie selon laquelle Heavenly Warrior devait conduire le clan à un glorieux avenir aurait été accomplie. Mais son père, Shen a décidé malgré tout de l’initier aux arts du combat et de lui inculquer l’esprit d’un guerrier. Lorsqu’il fit capturé par le roi Bohan, Nariko n’eu plus le choix d’utiliser Heavenly Sword dont cette épée se nourrirait de son âme.

L’Epée des Cieux

Le début commence sur le champ de bataille où vous vous retrouvez face à plus de 500 soldats tous vous attaquant. Après avoir frappé à maintes reprises vos assaillants, un cut scène fera son apparition où vous y verrez Nariko mourir. Comment est-ce possible ? C’est une bonne question car ce combat est sûrement celui du futur. Apparemment c’est un rêve, je ne suis pas très sûr.
Certes de retour dans le passé et sans l’Heavenly Sword, votre peuple et vous êtes suivis par le machiavélique Bohan et son armée assoiffée de sang. Ici, il n’y a pas besoin de se poser des questions, il suffit d’appuyer sur la touche d’action afin de régler le compte aux vilains.

Durant toute votre partie, vous serez obliger de progresser avec Nariko et Kai sa petite sœur adoptive qui elle est équipée d’une sorte d’arbalète géante. Je me demande même comment un si petit être puisse porter une arme qui paraît plus lourd qu’elle. Enfin cette dernière n’est jouable qu’à certain moment du jeu. Vous l’utilisez en grande partie pour faire des tirs de couvertures ou de protection comme au moment où Shen est suivi par des soldats sur le pont. Deux choix s’offrent à vous, le premier est d’utiliser la visée simple sans devoir guider la flèche ou la deuxième façon, vous permet de contrôler le projectile avec la manette Sixasis en l’inclinaison de manière à ce qu’elle touche son but. Ça ne s’arrête pas là car d’autres éléments peuvent être dirigées, par exemple des missiles tirés depuis un gros tube, des rochers avec une catapulte ou des boucliers afin d’activer des portes et autres parties du décor. Ne croyez pas que c’est facile car la manette réagit au moindre de vos mouvements et donc peut faire dévier votre projectile facilement. En parlant des phases de catapultes, celles-ci vous situent sur les hauteurs d’un château où vous avez pour but de ralentir l’armée adverse qui poursuit votre clan. C’est superbement réalisé, le camp opposé vous canarde avec leurs catapultes et vous devez riposter en tirant à des endroits précis de ces armes afin de les rendre inutilisables. De plus, une fois celles-ci réduites à néant, les soldats commenceront à foncer sur vos confrères et bien évidement c’est à vous de ralentir leur progression avec cette arme surpuissante. De même, un score vous dévoilera combien de soldats vous avez massacré. Du coup, Dynasty Warriors n’a plus qu’à prendre ses valises.

Venons maintenant au combat au corps à corps. Comme je vous l’ai dit un peu plus haut, la belle Nariko n’est pas équipée de Heavenly Sword dès le début. Vous êtes seulement armés de simples épées. C’est un peu plus tard quand le père de la guerrière se fait capturé que mademoiselle devient folle de rage et se munit de l’arme ultime qui malheureusement se nourri de la force vital de son possesseur. Dommage pour elle, enfin… Cette épée venue des Cieux contient trois gardes, "vitesse" ou Heavenly Sword se divise en deux parties et vous permet de frapper rapidement, "puissance" dont l’épée ne forme qu’une à la façon Siegfried de Soul Calibur et fait subir des dégâts lourds à ses opposants, et pour terminer "distance", qui transforme l’arme en sorte de fouet comme celle d’Ivy aussi de Soul Calibur et massacre les ennemis tout en gardant la distance. Vous avez la possibilité de passer d’une garde à l’autre au cours du combat afin de créer des combinaisons d’attaque et des mouvements spéciaux aux effets dévastateurs. Kratos n’a qu’à bien se tenir !

Ça ne s’arrête pas là car au fil de votre progression vous allez rencontrer différentes créatures et humains. Vous affrontez des boss terrifiants en combat un contre un, des groupes d’ennemis à l’esprit vif et des milliers de soldats en marche tout ceux-ci accompagnée d’une bande son à en couper le souffle. De plus les phases de gameplay sont tellement jouissives qu’on en redemande. Malheureusement la durée de vie est trop courte mais vous pouvez toujours reprendre certains endroit afin de récupérer de nouveaux artworks, vidéos et autres en plaçant le plus de combos possibles ou en réussissant certains quêtes sans faillir.

Celle qui désira son âme

Même si aux premiers abords, Heavenly Sword vous paraît grandiose, le contenu total est plutôt banal. Le jeu est trop linéaire, ici on se complique pas la vie on avance simplement. Du début à la fin vous allez enchaîner combats sur combats ce qui devient vite lassant et répétitif. Les arènes de combats sont fermées, ne laissant aucune interactivité avec le décor. Durant la partie, vous remarquerez qu’elle contient quelques bugs d’affichages comme les cheveux de Nariko qui traversent les éléments de l’environnement ou son arme. A en croire, les ennemis ont pratiquement tous étés clonés se qui faient d’eux tous des frangins. Certes, ce n’est pas le plus important, car d’autres points négatifs comme les séquences au Sixasis sont extrêmement agaçantes et les temps de chargement n’en finissent jamais.

Par contre de son côté, les combats sont fluides et concoctés de combos sophistiqués et impressionnants. On regrette quand même que Nariko ne puisse pas effectuer de saut devoir frapper. Les personnages sont charismatiques, modélisés avec le moindre détail et leurs expressions sont telles qu’on croirait que c’est des personnes réelles de l’autre côté de notre écran. C’est un pur plaisir de voir les ces personnes gambader dans des décors somptueux et gigantesques. Même si votre téléviseur n’est pas en haut définition, la réalisation est superbement travaillée.

Quel dommage qu’Heavenly Sword ne soit pas à la hauteur de nos espérances. Il y a des gens qui aiment et d’autres moins. De ma part, je trouve que c’est titre n’est pas une nouvelle révélation dans le monde du jeux vidéo, même Ninja Gaiden Sigma qui est très moyen est plus intéressant.

Testé sur PlayStation 3 par Dante

  LAISSER UN COMMENTAIRE   COMMENTAIRES
> Graphisme 0/10    
 
> notez cette section
> Violence 0/10    
 
> notez cette section
> Jouabilité 8/10    
 
> notez cette section
> Bande-son 7/10    
 
> notez cette section
> Durée de vie 4/10    
 
> notez cette section
> Scénario 6/10    
 
> notez cette section
> Note finale 7/10    
 
> notez cette section
> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
Version:
Genre: Action
Age: dès 16 ans
Nombre de joueurs: 1
Online: Non
Editeur: Ninja Theory
Site officiel: http://www.heavenlysword.com/
Développeur: Sony
> PAROLE DU RÉDACTEUR