Nous somme en 1985, un jeu sort sur Amiga (genre de pc), il s’appelle The Bard’s Tale et voilà que 20 ans plus tard, Ubisoft a la bonne idée d’en faire un remake. Ce jeu plein d’humour et de fantaisie, vous apportera un bon moment de détente et de rigolade. Suivez moi dans l’aventure.
Un scénario très rigolo
Vous incarnez un musicien, fils d’un éleveur d’asticots, qui décide de choisir une profession où il ne se salit pas les mains. Il est très sarcastique et un peu lourdaud sur les bords. Un jour en jouant du luth (instrument à cordes pincées), il se rend compte qu’il a un pouvoir magique. Il décide de l’utiliser pour gagner sa vie en aidant les autres, du pur profit. Les quêtes sont complètement loufoques. Il est vrai que dératiser une cave pour s’attirer les faveurs d’une veuve à très forte poitrine peut s’avérer très inutile mais c’est tellement drôle de voir votre personnage se prendre une veste que cela passe inaperçu et l’envie d’aller plus loin dans l’aventure est toujours présente. De plus, lors de certaines conversations, il est possible de choisir si l’on veut que notre personnage parle méchamment ou gentiment, donc vous aurez envie de parler à tout le monde en espérant que cela dégénère.
Le gameplay du siècle !!
Ce titre est un hack'n slash très basique. La gestion du personnage se limite à l’attribution de poins lorsque l’on monte d’un niveau et celle des équipements est carrément inexistante. Lorsque que vous gagnez une arme, une armure ou un item, ceux ci remplacent automatiquement l’objet déjà porté par le héro et ce que vous gagner en combat se convertie en argent de façon machinal. Par contre vous avez la possibilité d’invoquer des créatures grâce à votre luth. Ses invocations vous les aciérez au fils de l’aventure. Elles vous aident dans les combats et plus vous avancez plus elles s’avèrent nécessaire. Elles sont aux nombres de 16 et voici leurs noms. Le rat d’égout, le mercenaire, le chevalier, le fouisseur (vole la vie des ennemis), l’héroïne, la brute, l’élémentaire de feu, le béhémoth, l’araignée électrique, le frappeur (genre de Zeus), la rebouteuse, l’enchanteresse, la fée de lumière, le garde du corps, la roublarde et l’explorateur. Tout ce beau monde est là pour vous servir quand vous voulez et où vous voulez.
Des graphismes pas folichons
Avec un air de champions of norraht, le moteur est le même, on se dit qu’on même que inXile aurai pu faire mieux. Les graphismes sont loin d’égalé les autres softs de se style, ils sont vraiment très simple et sans grand intérêt. Les personnages manque très cruellement de charisme et de personnalité. Ils ne font rien passer de spéciales, ils sont quelconques. Enfin les zooms des caméras sont très mal place, on a vraiment l’impression d’être à des kilomètres au dessus de la scène.
Ce titre vous plaira certainement si vous êtes fan du style, tu avances, tu tapes, sinon vous pouvez passer votre chemin. L’humour apporte à cette aventure un grain de folie bien dosée et il est même le plier centrale du jeu. Même si les graphismes pourraient être mieux et que le gameplay est un peu simpliste, il vaut quand même le détour.
par Uruviel