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Prince of Persia The Two Thrones
  PHOTOS
 
 
  Note générale
GamesUP.ch
8/10
  Note générale
lecteurs
Non noté
  Testé sur
 
 
Sur GameCube - PlayStation 2 - X-Box

Les

+

> Les graphismes
> L’histoire
> Le dédoublement de personnalité du prince
> Remonter le temps
> Les phases d’action/plates-formes
> La bande-son
 

Les

> L’animation
> La difficulté par moment

Le troisième épisode de la série Prince of Persia suit le chemin de ces prédécesseurs. Il ouvre la voie à un genre encore peut exploité par le jeu vidéo, la schizophrénie.

Notre ami possède une double personnalité et en plus  il entend des voix !

Double style

Le premier jeu de la trilogie mettait l’accent, essentiellement sur l' action et la plate-forme aventure. Tandis que le second tranchait radicalement dans le lard, avec une préférence basée sur le gore rythmé et axé autour de la violence.

L’épisode qui nous intéresse le plus actuellement, est bien évidemment le 3ème. Il reprend le pas sur l’action et le scénario gagne en lettres de noblesse.
L’histoire reprend juste après le deuxième opus. Notre héros revient à Babylone avec la très provocante impératrice du temps Kaileena. Mais à leur grande surprise la ville est ravagée par la guerre. Traqué comme le seul héritier au trône d’Iran (La perse), le beau ténébreux suite aux contacts prolongés avec les sables du temps va donner naissance à son double maléfique, le prince noir.

Le prince qui tue !

Le moins que l’on puisse dire c’est que notre héros possède une panoplie de mouvements et d’enchaînements conséquents. Les phases d’action sont pour le moins la cerise sur le gâteau. Tel un chat enragé, notre ami bondit dans tous les sens et frappe avec la précision d’un ninja possédé par l’esprit du vent. Les combos disponibles permettent de varier les attaques sur plusieurs niveaux. Le prince se la joue par moment à la Sam Fisher (Splinter Cell), ce dernier peut surprendre ces ennemis par derrière en leur portant un coup fatal tel un faucon qui bondit sur sa proie, en s’approchant par la terre ou les airs. Une autre faculté du personnage consiste au moment critique, à utiliser les pouvoirs de son double noir, armé d'une sorte de fouet bardé d’épines, encré dans la chair de son bras gauche. Ce dernier permet des attaques inédites jamais encore vues dans un jeu vidéo.

Retour vers le futur

Mais notre persan peut également quand tout semble perdu, faire appel à la puissance du temps. En le remontant, le prince peut à tous moments revenir à l’endroit précis juste avant de mourir. Par exemple une mort stupide due à une chute. Le mode histoire nous fait rencontrer des tas d’ennemis plus au moins compliqués à vaincre. Même si les ¾ du temps il s’agis de simples soldats. Mais le jeu ne se limite pas uniquement à eux. On y retrouve des démons des sables, qui ont la forme d'un chien ou encore des boss comme le fameux géant des arènes de Babylone qui et de loin l’un des monstres les plus étonnants et difficiles à démonter. Mais on y retrouve également, une course de char qui vient ponctuer l' ouvrage, en proposant des sensations de pilotage extrême à la Ben Hur ! La belle et plantureuse farah viendra également donner un petit coup de main avec son arc et ses flèches à notre sabreur préféré.

Agence de voyage

Tout cela sans une bonne maniabilité ne serait rien et les concepteur du soft, ont parfaitement suent marié les phases d’action et d’équilibrisme de la plus belle façon possible. Le moins que l’on puisse dire c’est que techniquement s’est magnifique. Les environnements retranscrivent parfaitement l’atmosphère « mille et une nuit ». L’architecture orientale se ressent jusque dans la bande-son qui raisonne de thèmes ébouriffants. Les doublages français sont le nerf de la guerre, ils servent et donnent du rythme à l’avancement de la trame. Le point le moins bien rendu malheureusement, c' est l’animation, qui souffre d'un manque de naturel et de fluidité. Bref pour conclure le titre d’Ubisoft Montréal propose un challenge relevé, garni d’une histoire envoûtante. De quel coté le prince va-t-il tomber ? Une quinzaine d’heures seront nécessaire pour le savoir. Les deux royaumes, s’imposent tout naturellement comme le meilleur jeu de la trilogie.

par Evil

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> Scénario 0/10    
 
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> Note finale 8/10    
 
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> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
Version:
Genre: Action / Aventure
Nombre de joueurs: 1
Online: Non
Editeur: Ubisoft
Développeur: Ubisoft
> PAROLE DU RÉDACTEUR