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| Xenoblade Chronicles : Definitive Edition |
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Note générale
GamesUP.ch |
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9/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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Nintendo Switch |
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| Sur Nintendo Switch |
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COMMENTAIRES |
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| Techniquement le titre de Monolith Soft s'en tire avec les honneurs sur la Nintendo Switch et il s'agit tout simplement de la version la plus propre du jeu qui existe. Les modèles des personnages ont par exemple tous été refaits à neuf et arborent désormais un look plus "stylisé" façon manga que ce qu'ils ne l'étaient auparavant. Il faut dire que les personnages ressemblaient par le passé plus à des personnages issu d'un croquis de Akihiko Yoshida, alors que cette version Switch propose quelque chose de plus "Shonen" à l'esprit manga, ce que pourrait parfaitement produire un artiste comme Tetsuya Nomura. Certains aimeront ce changement de cap, alors que d'autres non, mais on ne peut pas nier que les personnages gagnent, grâce à la technologie, ainsi que ce design, beaucoup plus d'expressions au niveau des visages. Le titre bénéficie aussi au passage d'une grosse amélioration au niveau de la qualité des textures et beaucoup d'autres d'ajouts ont été faits, comme l'apparition de hautes herbes plus réalistes, denses, ainsi que variées. Impossible de passer sous silence l'amélioration des ombres, qui gagnent sur Switch beaucoup en qualité. Ce que l'on aprécie surtout dans cette nouvelle version du jeu c'est qu'on peut enfin profiter de Xenoblade Chronicles sans aliasing ou presque, ce qui n'a jamais été le cas auparavant. On dénote cependant des petits moins, comme des arbres qui bougent plus pour la plupart, alors que sur Wii... c'était le cas : étrange ! Le mode portable et dock se ressemblent presque sur tous les points et les principales différences se font au niveau de la résolution. On dénote aussi quelques petites différences comme des réflexion des ombres et formes moins précises dans sur la surface de l'eau. Le titre réussi à garder un 30 images par seconde très constant, ce qui est une excellente chose. Le titre de Nintendo est donc agréable à regarder, autant sur l'écran de la machine que sur un écran haute définition. La direction artistique quand à elle reste ce qu'elle était et est donc de haut vol. Forêt mystiques, contrées féeriques, immenses plaines fourmillant de vie, lacs immenses, tout est vraiment fait pour que ce voyage soit dépaysant, unique et marquant. Aucuns temps de chargements supplémentaires n'ont étés ajoutés, le tout se déroule quasiment sans interruption et les zones sont toujours aussi immenses et connectées de façon naturelle. Vous l'aurez compris le contenu reste identique et vous retrouvez tout simplement Xenoblade Chronicles dans une version boostée aux hormones. On apprécie vraiment la refonte du menu et du HUD de manière générale, qui rend l'expérience de jeu plus lisible. |
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| Xenoblade Chronicles : Definitive Edition n'est pas le jeu le plus violent du monde, mais il faut savoir que quelques scènes intenses sont quand même de la partie. L'histoire reste en générale assez mature et il y a en fin de compte beaucoup de monde blessé et même des morts dans Xenoblade. Le jeu de Nintendo est quand même assez fantaisiste et reste dans le plus pur esprit manga. Le PEGI recommande le titre aux douze ans et plus. |
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| Tout ce qui faisait le charme de Xenoblade a été conservé et absolument rien n'a été mis de côté. Le jeu se joue même mieux que sur Wii et on ne va pas s'en plaindre. On reste dans un J-Rpg temps réel très dynamique, qui bascule parfois en semi temps réel lors de certaines actions bien précises. La petite originalité des combats dans Xenoblade provient d'un pouvoir du héros lui permettant de voir de temps en temps le futur, ce qui permet de changer le cours d'un combat et de le retourner à son avantage. Contrôler les actions des personnages dans une joute se fait via une barre d'action contenant une palette de compétences choisies au préalable par le joueur. Le placement des personnages sur le terrain est très important, car la plupart des compétences nécessitent un positionnement bien précis par rapport à l'ennemi pour maximiser les dégâts. La lacération dorsale, par exemple, devra être assénée dans le dos d'un ennemi pour être efficace. On dénote avec cette version Switch, l'arrivée d'un marqueur qui indiquera au joueur lorsqu'il est dans la bonne position pour effectuer une attaquer précise, ce qui rend le tout plus limpide. Bien entendu un maximum de compétences s'articulent autour de ce concept et il existe des centaines de compétences différentes pour effectuer des combos. Si on reprend l'exemple de la lacération dorsale, il est judicieux de donner la compétence «Coup de massue » à un autre personnage de l'équipe, qui lui permettra d'attirer l'attention de l'ennemi pendant un bref instant et qui vous laissera tranquillement le temps d'aller dans son dos et l'attaquer avec la lacération dorsale. Vous l'aurez compris, construire une équipe cohérente est donc un point important. D'autres choses s'ajoutent à cela comme le pouvoir de l'épée Monado, qui est la seule arme à pouvoir blesser les terribles Mékons. Il faudra donc utiliser les pouvoirs de cette épée pour donner une propriété aux armes des alliés permettant d'atteindre ce genre d'ennemis insensibles aux attaques classiques. Les différents autres aspects du jeu restent les mêmes, ainsi il est toujours possible d'ajouter des gemmes aux diverses pièces d'équipements, afin de rajouter des attributs spéciaux, de faire évoluer ses compétences grâces aux PC accumulés et bien plus encore. Le nombre hallucinants de quêtes annexes s'intègre parfaitement au jeu et le système de jour et de nuit est encore présent. Ce dernier a son importance car certaines quêtes ne seront disponibles qu'à un certain moment de la journée et certains monstres ne sortent, par exemple, que la nuit. On gagne aussi sur au passage sur Nintendo Switch un marqueur qui aide à s'y retrouver avec les différentes quêtes annexes, ce qui facilite un peu l'ensemble. Le rythme de l'aventure quant à lui est toujours le même et reste donc proche de la perfection. Petit détail qui a son importance pour un jeu portable, sachez qu'il est possible de sauvegarder quasiment n’ importe où dans Xenoblade Chronicles, ce qui est un plus non négligeable pour le format hybride. |
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| La bande sonore de Xenoblade Chronicles est tout simplement l'une des meilleures de ces dernières années dans le domaine du jeu vidéo. Yoko Shimomura (Final Fantasy XV, Kingdom Hearts, Street Fighter 2), Manami Kiyota et ACE+ (groupe composé de Kenji Hiramatsu, Chico Yamanaka, Tomori Kudo) ont tous œuvrés pour créer une OST proposant un grand nombre de pistes toutes aussi bonnes les unes que les autres. Cette version Nintendo Switch profite au passage d'une bande son remastérisée par les responsables des pistes originales et la qualité est donc bien meilleure qu'à l'époque de la Wii. Il est possible de passer de la bande son remastérisée à l'originale en un simple clic. Bref on apprécie ! Le gros point noir de la version New 3DS du jeu est ici balayée et on retrouve avec un très grand plaisir les voix japonaises. On rapelle que dans les voix originales on retrouve la présence des doubleurs originaux de Vegeta et Cell de Dragon Ball Z rien que ça ! |
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| Disposant d'une quête principale longue, qui tiendra en haleine le joueur moyen pour une durée d'au minimum cinquante heures, il faut savoir que le compteur explose littéralement dès le moment où l'on commence à s’intéresser aux quêtes annexes. Xenoblade Chronicles : Definitive Edition est un jeu d'une richesse inouïe et le terminer dans son entier peut demander facilement plus de deux-cent heures de jeu. On apprécie l'ajout d'un épilogue qui donne au joueur une dizaine d'heures de jeu supplémentaires, ce qui n'est pas négligeable. Au total si on effectue les quêtes annexes de cette nouvelle partie du jeu on gagne encore une dizaine d'heures de jeu de plus. Bref, si c'est la première fois que l'on touche à Xenoblade, on en a vraiment pour son argent. Dommage qu'il y aille dans le jeu beaucoup de quêtes annexes de type "fedex" ce qui peut être parfois un peu rébarbatif. |
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| Une histoire vraiment prenante et très bien écrite, c'est ce que l'on retrouve dans Xenoblade Chronicles. Les personnages sont rapidement attachants et leurs motivations nous donnent envie d'avancer pour découvrir le fin mot de l'histoire. On reste dans un style assez « shônen » en ce qui concerne la mise en scène et cela apporte un certains « peps » à chaque cut-scène. Le rythme de l'aventure est très bien calibré même si un ou deux petits passages sont parfois un peu plus poussifs que d'autres, mais rien de grave n'est à signaler. La quantité astronomique des dialogues est quelque chose à saluer et ce genre de « petits » détails rendent le jeu vraiment très vivant. On ne s'ennuie quasiment jamais dans Xenoblade un point c'est tout. On ne peut que conseiller les autres J-Rpg de s'en inspirer. On apprécie l'ajout d'un épilogue sur cette version Switch, qui nous permet de retrouver Shulk après les évènements du jeu original, ce qui est un plus assez génial pour les fans de la première heure. |
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| Xenoblade Chronicles a toujours été un grand jeu et cette Definitive Edition ne fait que sublimer un jeu qui était déjà d'une grande classe. On apprécie vraiment de pouvoir enfin jouer au jeu sans qu'il nous casse les yeux sur un écran haute définition, ainsi qu'avoir le droit à une version portable proche du rendu sur une télévision. Les différentes améliorations, ainsi que les divers ajouts ne font que rendre l'expérience de jeu encore plus plaisante, alors que le titre était déjà au sommet. Les fans de Rpg vous pouvez donc foncer sans vous prendre la tête. |
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