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Note générale
GamesUP.ch |
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9/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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Playstation 4 Pro |
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| Sur PlayStation 4 - Playstation 4 Pro |
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COMMENTAIRES |
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Resident Evil VII n'est pas le jeu le plus reluisant qui soit techniquement parlant, certaines textures sont faiblardes, quelques animations sont parfois pas très reluisantes comparées à la concurrence, mais tous les petits défauts que l'on peut apercevoir sont compensés par un grand nombre d'autres points positifs tout aussi importants. Le traitement des effets lumineux, par exemple, est parfaitement maîtrisé et les autres effets naturels comme le brouillard sont exquis et renforcent grandement l’immersion. Plein d'autres sont présents pour rendre cette demeure du mal encore plus réaliste, comme la présence d'un grand nombres d'objets uniques qui ne se répètent pas au fil des pièces que l'on visite.
C'est un fait, l'ambiance esthétique de Resident Evil VII est parfaitement réussie et c'est encore plus vrais quand on met le casque de réalité virtuelle de Sony et que l'on est immergé dans cet endroit fort lugubre d'une grande cohérence artistique.
Ce petit coin d'enfer est donc bien crédible, tellement crédible que la moindre ombre d'un objet qui bouge à cause d'une lampe est capable de mettre mal à l'aise le joueur. C'est un fait une fois plongé dans cet univers singulier, on y est en quelques sortes vraiment et il semble être difficile pour le cerveau de toujours se rappeler qu'il ne s'agit que d'un simple jeu. |
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| Resident Evil VII n'est vraiment pas à mettre entre toutes les mains. On est presque au summum de la peur et du gore. Il est tellement bien réalisé qu'il met mal à l'aise dès les premiers instants. Le titre de Capcom aime faire peur et peut même faire très peur quand on décide de tenter l'aventure en réalité virtuelle. Âmes sensibles s'abstenir ! Le PEGI 18 est de rigueur. |
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| Le septième épisode de Resident Evil revient vraiment aux sources sur tous les points et la jouabilité ne fait pas exception. Exit les personnages entraînés par l'armée pour faire face à l'apocalypse et bonjour Monsieur Ethan le simple petit humain lambda, qui ne sait même pas vraiment se servir d'un couteau. Le héros est donc relativement fragile et sans défense en début de partie et cela fait grandir une certaine sensation d’oppression chez le joueur. Petit à petit on trouve de quoi se guérir en faisant des mélanges d'ingrédients et même des armes pour se défendre comme un couteau, ainsi que des armes à feu. Gérer son inventaire de façon optimale est toujours aussi important, car ce dernier est limité en place et il faut donc apprendre à laisser dans un coffre tout ce qui n'est pas utile sur le moment. Ne pensez pas canarder vos ennemis à l'aide de deux tonnes de munitions comme dans le sixième opus ou même le cinquième, ici chaque munition vaut son pesant d'or et les gaspiller est toujours sanctionné d'une manière ou d'une autre. Vous l'aurez compris, on retourne enfin à une jouabilité plus subtile et on est aux commandes d'un personnage moins puissant et agile, ce qui est paradoxalement vraiment rafraîchissant. La vue subjective n'était pas forcément une idée facile à intégrer pour les fans de la première heure, mais elle tend à renforcer la peur avec une certaine forme d'élégance et c'était sans doute la seule possibilité qu'avait Capcom pour en faire un jeu en réalité virtuelle si réussi. On aurait quand même aimé avoir le droit à un mode non VR avec un Ethan à la troisième personne, comme dans les anciens opus, mais cela aurait certainement demandé une grosse quantité de travail supplémentaire pour en faire quelque chose de bien. Les énigmes sont sympathiques sans être trop casse tête et on retrouve cette ambiance si particulière des premiers Resident Evil. Le level design est quant à lui bien pensé et petit à petit on débloque pleins de raccourcis dans cette horrible maison et de nouveaux passages, ce qui maintient l'envie de continuer à jouer. La sensation de script est un peu présente, mais bien moins que dans les derniers opus de la licence, ce qui est assez bien vu. Il est un peu dommage que le nombre d'ennemis différents soit si limité, car il est facile d'apprendre au bout d'un certain temps le comportement de chacun d'entre eux, ce qui diminue au fil du temps la sensation de peur. Les combats de Boss sont sympathiques, mais parfois un peu confus, ce qui est un peu dommage, mais quelques bonnes idées dans ses gros affrontements sont quand même plaisantes. Mention spéciale pour la visée avec les armes à feu en mode réalité virtuelle, qui est vraiment précise et agréable. |
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| L'ambiance sonore de ce Resident Evil VII frise l'excellence. Pas beaucoup de véritables musiques sont présentes à l'instar de tout survival horror, mais tout le travail effectué sur les bruitages mérite qu'on le souligne ici même. Chaque grincement provenant de cette vieille bicoque maintient une certaine tension dans l'esprit du joueur, ce qui prouve que tout l'aspect sonore est une réussite. Les voix anglaises |
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| Resident Evil VII n'est pas le Resident Evil le plus complet par sa durée de vie et ses modes de jeu limités, mais pour le genre on reste dans quelque chose de très correct. On préfère un jeu plus court, mais parfaitement rythmé plutôt qu'une aventure plus longue et trop souvent moyenne comme le démontre si bien le sixième épisode de la licence. Un DLC gratuit fera son apparition dans quelques semaines, afin de rallonger un peu le tout, ce qui est vraiment sympathique. |
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| Nous n'allons pas ici juger l'histoire en elle même qui est plutôt bateau et qui tente parfois de façon maladroite de raccrocher l'ensemble à la mythologie Resident Evil , mais plutôt de l'ambiance qui règne dans tout ce jeu. Ce Resident Evil va certainement marquer les esprits et surtout ceux qui ont osé braver cette horrible maison en réalité virtuelle, car l'ambiance qui y règne est délicieusement malsaine. Cette maison regorge de lieux glauques, de personnages totalement fous et infectés, ainsi que de monstres horribles. |
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| La prise de risque a payé ! Resident Evil VII n'est pas en tout point parfait, mais il est une véritable expérience à part entière, qu'il faut vivre au moins une fois dans sa vie, afin de bien la comprendre. La peur à retrouvé l'un de ses maîtres et on espère que cet opus va se vendre par camions, pour que Capcom puisse poursuivre l'aventure Resident Evil dans cette voie si particulière, qui est bien éloignée de la surenchère d'action de la plupart des derniers épisodes. Que cela fait du bien de pouvoir se frotter à un véritable survial horror, maintenant Monsieur Capcom, il est temps de faire la même chose pour Dino Crisis, non ? La note finale vaut 9 pour les utilisateurs du PS VR, pour les joueurs sans casque, on note plutôt le jeu avec un bon 8. |
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