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Assassin's Creed Chronicles : China |
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Note générale
GamesUP.ch |
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7.5/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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Xbox one |
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Sur Ordinateur - PlayStation 4 - Xbox one |
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COMMENTAIRES |
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Le style aquarelle est tout simplement une ode à la contemplation qui transforme chaque plan en une succession de moment de plénitude poétique. Le trait est fin, soigné, délicat donnant un style clairement innovant pour cette saga. Les effets de profondeurs sont convaincants et donnent du relief aux niveaux construit en 2.5 D. Même les jeux de lumières sont soignés tout comme les ombres, précieuses alliées dans les endroits confinés. Le port de Macao offre quelques plans superbes tout comme la Mystique Cité Interdite absolument fascinante. |
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La Lame percera les vies des pauvres inconscients dans une gerbe de sang très théâtrale, un peu comme les films d’épées de la grande époque de l’âge d’or du cinéma asiatique. Cela reste artistiquement sanglant. |
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Pour un jeu qui se joue à l’horizontale, il faut bien reconnaître que le titre d’Ubisoft permet une approche tactique bienvenue dans un jeu faisant la part belle à l’infiltration en offrant à notre héroïne une belle palette de mouvement. Le gameplay exploite à merveille toute la profondeur de champ offert dans les niveaux. Notre tueuse peut donc grimper un peu partout de manière cohérente, ce qui est à souligner, se suspendre à l’aide de son lasso-couperet, s’accrocher, se glisser dans l’ombre avec une étonnante agilité. N’étant pas trop friande aux coups frontaux, même si elle peut bloquer quelques attaques, notre tueuse évitera tout de même les combats aux sabres qui peuvent vite devenir pénibles surtout si les ennemis attaquent en nombre. Il existe bien une parade, un saut par-dessus l’adversaire mais cela reste une solution de dernier recours que l’on évitera au maximum d’abuser sous peine de mourir très rapidement. La configuration des niveaux permet en outre de jouer en total discrétion et d’éliminer les cibles prioritaires ainsi que les Boss de manière furtives, ce qui ajoute un peu plus de crédibilité à l’ensemble qui préconise l’approche réfléchie aux assauts imbéciles. Reste les armes secondaires qui font offices de sauveur sur bien des passages comme les appeaux pour détourner l’attention de gardes trop curieux, des couteaux de lancés pour débloquer des passages ou alors déclencher des pièges mortels, les pétards pour étourdir et le sifflet pour attirer les mouches dans votre toile fatale. L’arsenal permet de totalement se fondre dans les décors sans jamais se faire voire… ou si peu, histoire de gagner des points de style qui permettront à votre héroïne de débloquer encore plus de compétences. Reste au final une montée en puissance linéaire qui récompensera votre manière de jouer aussi bien silencieuse que plus bruyante, même si la classe viendra de tout faire dans l’ombre. |
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Elle se veut discrète et totalement en adéquation avec la poésie qui se dégage des plans en aquarelle. Un peu de guitare chinoise, agrémentée de flûtes, le son d’un gong et le dépaysement est garantis. On pourrait s’étonner de ne pas avoir des dialogues en mandarin tant l’ambiance si prêterait à merveille. |
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En explorant de fond en comble les niveaux pour y découvrir tous les secrets, notre assassine mettra un peu plus de 7 heures pour accomplir sa mission. Par la suite des modes de jeu plus corsés viendront relever le challenge sans pour autant accroître une durée de vie somme toute honnête pour un jeu de cette qualité proposé à ce prix. |
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.Une narration simple pour une histoire qui se veut assez intimiste, ne s’attardant pas trop sur les protagonistes qui ne se dévoileront qu’au travers des rouleaux dissimulés dans les niveaux. Nous sommes en 1526, une tueuse du nom de Shao Jun a pour mission d’éliminer les membres d’une secte de tueur eunuque connue sous le nom des Tigres qui a décimé toute la confrérie des assassins de la branche chinoise. Les Tigres sont des Templiers qui ont jurés de s’emparer d’un précieux artefact. Emprisonnée sciemment, Shao Jun part à la traque de tous les membres de cette confrérie. De belles estampes viennent renforcer la trame scénaristique qui se veut intimiste, sans forcer sur le crayon noir, tout en nuance, style qui colle parfaitement bien au jeu. |
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Une approche différente de la saga pour un savoureux voyage dans la Chine millénaire qui se dévoile aux travers d’estampes magnifiques et pleine de poésies, cette chronique lance parfaitement bien le triptyque annoncé par Ubisoft qui revisite des époques méconnues en y glissant un assassin légendaire. Le gameplay se déguste comme une soupe pimentée avec ce soupçon de gingembre qui rend le potage si savoureux. L’approche furtive est exploitée de manière cohérente et la configuration des niveaux permet une approche intelligente qui demande néanmoins un bon sens de l’observation. Cette chronique lance de bien belle manière le triptyque sans pour autant totalement révolutionner le genre. Peut-être que la révolution viendra des Indes ou de Russie. |
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