|
|
|
|
+ Recherche avancée |
+ Login |
+ Newsletter |
|
|
|
|
|
|
|
|
Call of Duty : Modern Warfare 2 |
|
|
|
|
|
|
Note générale
GamesUP.ch |
|
9/10 |
|
|
|
Note générale
lecteurs |
|
Non noté |
|
|
|
Testé sur |
|
|
|
Xbox 360 |
|
|
|
|
Sur Ordinateur - PlayStation 3 - Xbox 360 |
|
|
|
|
|
LAISSER UN COMMENTAIRE |
|
COMMENTAIRES |
|
L’environnement de guerre totale est retranscrit avec une réalité visuelle qui force le respect. Les villes sont littéralement ravagées par les bombes, des quartiers entiers détruits et broyés par les flammes qui contrastent avec d’autres lieux comme cette base russe perchée sur une falaise, ses Fulcrum griffés par le blizzard qui vous emportent dans différentes parties du globe l’arme à la main. La modélisation des armes et des équipements, les déplacements des militaires dans le feu de l’action sont maîtrisés jusque dans leurs attitudes face aux menaces. Les hommes se couvrent, se cachent sous la mitrailles, sont littéralement projetés dans les airs dans un réalisme saisissant. C’est la guerre à son paroxysme, sublimé par des effets de lumières splendides, des jeux de lasers dans le noir toujours aussi tape-à-l’œil, des explosions qui en mettent plein la vue et qui rendent presque cette guerre mondiale esthétique. |
> notez cette section |
|
Un passage va marquer les esprits, donner des cauchemars à tous ceux qui pensent que les jeux de guerre imposent une violence un brin sournoise avec cette manière délibérée de présenter un massacre de masse en acte de guerre nécessaire. Libre à vous de vous lancer dans ce terrible carnage ou de l’éviter. Pour le reste, la guerre réserve toujours son lot de mort et scènes de massacre. |
> notez cette section |
|
Si on fait abstraction d’être indirectement dirigé par la main invisible d’un adjudant de la vieille école vous intimant de ne jamais vous éloigner du script, d’avancer dans des couloirs balisés qui s’ouvrent fort heureusement quelquefois sur des environnement un peu plus ouverts, la machine de guerre d’Infinity Ward s’appuie sur une jouabilité rarement prise en défaut. C’est comme la mécanique d’un bon vieux AK-47, elle ne s’enraille quasiment jamais, même dans les conditions les plus extrêmes. |
> notez cette section |
|
Le compositeur made in Hollywood Hans Zimmer à qui l’on doit notamment les bandes originales de Pirates des Caraïbes et du très percutant Rock qui devait déjà être un clin d’œil à sa partition de ce deuxième opus par ces thèmes épiques qui savent si bien sublimer l’action démentielle et d’autres plus calmes, voire carrément plus tragiques sur certains passages. Les dialogues sont parfaitement à la hauteur, calibré blockbuster américain, martial au milieu de la furie des explosions qui vont faire saigner vos tympans. |
> notez cette section |
|
La campagne du mode solo se bouclera en un peu plus de 6 heures en optant illico pour un mode de difficulté maximal, histoire de boucler la guerre de manière un tout petit peu plus compliquée malgré le sentiment de devoir la gagner tout seul. Mais l’atout de taille est son mode Spec Ops qui vous proposera de faire équipe avec un allié dans un mode coopératif extrêmement exigeant sur 20 niveaux taillés pour la bagarre, l’infiltration, la défense de zone. Le mode multi joueurs lui se veut à la hauteur de son prédécesseur avec une multitude de choix de customisation des armes et des équipements, sans oublier les atouts indispensables lancés par le premier épisode qui permettent de customiser un type de combattant qui s’adaptera à votre façon de jouer. Et quel plaisir de lancer des attaques de drones, de se mettre à la place d’un artilleur sur un hélicoptère, de frapper de manière chirurgicale les positions ennemis en accumulant les morts. |
> notez cette section |
|
Comme des éclats de shrapnels qui voleraient dans tous les sens, ce deuxième opus nous expédie aux quatre coins du monde dans un maelstrom scénaristique pas toujours très cohérent. On guerroie en Afghanistan, dans les favelas de Rio, au Kazakhstan, dans la Virginie sudiste, sur une plate-forme pétrolifère à la poursuite de l’ennemi numéro mondiale, Makarov qui ne s’encombre d’aucun massacre pour faire reluire le drapeau de la vieille Union soviétique. Les Etats-Unis en gardien du monde et des bonne mœurs face aux vilains conspirateurs, le scénario si il ne brille pas par son originalité a le mérite de nous faire voire du pays dans une suite de séquences d’anthologie qui montre avec quelle maestria Infinity Ward maîtrise son arme de destruction massive. |
> notez cette section |
|
Le FPS spectacle qui ne peut s’empêcher d’en rajouter une couche à chaque épisode repoussant encore plus loin les limites de la destruction massive en gratifiant les joueurs d’une mise en scène absolument somptueuse, c’est le genre de mission que n’importe quel soldat d’élite se doit d’avoir un jour effectué. Malgré ses mécaniques parfois balisées à l’extrême, ses scripts aussi énorme que la coque d’un classe Nimitz, ses soldats qui tirent parfois dans le vide, Modern Warfare 2 est bien le digne successeur de son illustre aîné qui a su donner au FPS ce côté grand spectacle qui en fait le blockbuster incontesté de cette année 2009. |
> notez cette section |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|