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Note générale
GamesUP.ch |
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8.5/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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PlayStation Vita |
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| Sur PlayStation 3 - PlayStation 4 - PlayStation Vita - Wii U - Xbox 360 - Xbox one |
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COMMENTAIRES |
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| Toujours aussi somptueux que sur consoles de salon, Child Of Light profite de la « petite » taille de l'écran de la VITA, ainsi que de son écran OLED d'une rare qualité, pour s’épanouir sous nos yeux encore plus qu'auparavant. La superbe direction artistique reste inchangée et une certaine poésie se dégage de chaque plans qui composent le titre d'Ubisoft : décidément l'Ubi Art Framework également utilisé par Rayman Legends, continue à faire des merveilles ! Au niveau des désagréments liés à ce portage, on regrette l'apparition de certains ralentissements dont on se serait bien passés, qui font, il faut l'avouer, un peu tâche dans cet univers enchanteur. Les ralentissements restent quand même assez rares et heureusement, le titre d'Ubisoft a pleins d'autres qualités à mettre en avant, qui estompent assez rapidement les petits désagréments de ce portage. En un mot comme en cent le portage de Child Of Light sur Playstation Vita reste quand même assez propre dans l'ensemble. |
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| Coloré et chaleureux tout en alternant judicieusement avec des phases plus sombres et un brin plus « effrayantes », Child Of Light est un subtil mélange entre les rêves et les cauchemars. Ne vous attendez à rien d'extrêmement violent dans le titre d'Ubisoft Montreal, mais le PEGI+12 est quand même de rigueur. |
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| Alors qu'au niveau de la technique pure on perd un peu au change avec cette version portable comparé au consoles de salon, il en va tout autrement de la jouabilité, qui est même sublimée avec cette version Vita. Encore plus agréable qu'auparavant, Child Of Light utilise à bon escient les caractéristiques de la console portable de Sony, afin d'être beaucoup plus intuitif ! L'écran tactile est par exemple utilisé pour faire se déplacer le petit compagnon d'infortune d'Aurora, ce qui change complètement la vie : on peut dire adieu au stick droit pour effectuer cette tâche ! On gagne également en efficacité au niveau des menu, qui sont maintenant beaucoup plus ergonomiques grâce à l'écran tactile de la console. Il est possible, par exemple, de parcourir l'inventaire rapidement, de choisir des objets ou encore de sélectionner rapidement des compétences pour les différents guerriers, qui accompagneront Aurora dans sa noble quête. Pour le reste tout a été dit dans l'autre test, nous avons dans les grandes lignes un système de combat au tour par tour grandement inspiré de Grandia, mais qui ne possède pas la notion de déplacement sur le terrain comme l'illustre Rpg de Game Arts. Au niveau de l'exploration nous avançons sur des plans en 2D (à la manière d'un Valkyrie Profile) en résolvant des énigmes dans l'ensemble bien pensées, mais en contrepartie assez simples. |
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| La bande son a été confiée à Cœur De Pirate, qui est une artiste canadienne reconnue par un grand nombre de personnes et il faut avouer qu'elle s'en sort plutôt bien dans le domaine de la composition vidéo ludique. Le très impressionnant orchestre symphonique de Bratislava s'est occupé de donner vie aux compositions de la jeune artiste de Montréal et on ne peut qu'être content du résultat, qui est, il faut l'avouer, d'excellente facture. Petite mention spéciale au thème de combat qui est vraiment très bon. On regrette par contre que les ralentissements liés au moteur de jeu de cette version portable, nuise également à la musique. On constate malheureusement certaines saccades au niveau sonore quand le framerate chute : dommage car c'est vraiment désagréable pour l'oreille du joueur. |
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| Le titre d'Ubisoft Montréal prend plus ou moins une dizaine d'heures à être traversé d'une façon normale. Pour tout explorer, on pourra par contre faire monter le compteur à une quinzaine d'heures au grand maximum. Il sera, cependant, sûrement difficile de faire un deuxième run car le jeu reste assez sage dans son ensemble et donc prévisible, tant dans son histoire que dans son level design. La difficulté du jeu n'est pas très relevée et nous conseillons aux experts des Rpg de choisir d'entrée le niveau de difficulté maximum. |
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| Commençant d'une façon assez tragique, Child Of Light arrive quand même à nous embarquer facilement dans un monde remplit de féerie. Raconté d'une bien belle manière, exclusivement à l'aide de rimes, Child Of Light à tout pour rappeler les contes des grands auteurs qui ont bercé notre enfance. L'expérience est grâce à ce type de narration, vraiment unique et plaisante. On est content de voir à notre époque que ce type de jeu soit encore d'actualité au sein des grandes entreprises de notre industrie préférée, qui a parfois trop tendance à se standardiser . |
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| Child Of Light dans sa version Playstation Vita est malgré quelques imperfections une très bonne surprise ! Vous l'aurez compris, le portage n'est pas exempt de défauts, mais le charme opère autant que sur les autres versions du jeu, ce qui est bien l'essentiel pour les joueurs nomades que nous sommes. En utilisant correctement les spécificités de la Vita, le titre d'Ubisoft arrive même à nous faire oublier les quelques défauts liés au portage et à trouver un bon juste milieu, entre concessions et améliorations. Un autre avantage qui n'a l'air de rien dit comme ça, c'est que cette fois-ci on nous offre la possibilité de choisir entre une version physique et dématérialisée, ce qui n'était pas le cas jusqu'ici. Ubisoft offre d'ailleurs les quelques DLC sortit sur consoles de salon, ce qui est un plus sympathique. Vous l'aurez compris, pour son prix Child Of Light est une très bonne expérience à vivre sur une Vita en manque de jeu du genre traduit en français. |
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