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Note générale
GamesUP.ch |
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7/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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Xbox 360 |
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Sur PlayStation 3 - Xbox 360 |
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COMMENTAIRES |
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Clairement pensé et conçu pour les capacités des consoles next-gen, cette version Xbox 360 souffre de graphismes bien en deçà de ce à quoi nous étions en droit de nous attendre. Les textures restent agréables à l’œil, mais certains bugs graphiques entachent réellement le plaisir de jeu (beaucoup de clipping). Les personnages sont joliment modélisés bien que les expressions paraissent parfois figées. Avant de s’arrêter à un avis tranché, nous attendrons de voir le résultat sur PS4 ou Xbox One, car vu la densité de la faune, de la flore et des détails qui émanent un peu partout, le résultat sera probablement autrement plus impressionnant et l’affichage plus important. A noter que certains décors sont à couper le souffle, lorsque vous êtes dans la jungle notamment, mais également dans les villes que vous visiterez comme La Havane, Kingston ou la misérable Nassau. |
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Comme d’habitude, les gerbes de sang sont omniprésentes lorsque vous tranchez vos adversaires. Vous partirez également souvent en chasse, notamment au requin, ce qui occasionne de sacré moments sanglants. Vous risquez également de vous faire dévorer par des requins ou des crocodiles. |
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La jouabilité d’Assassin’s Creed ayant fait ses preuves, les développeurs n’ont pas estimé utile de renouveler un peu l’intérêt global. Dommage, on aurait aimé avoir plus de possibilités, plus de nouveautés dans les coups proposés. Il y a malgré toutes de belles trouvailles, comme les fléchettes soporifiques ou les fléchettes furie qui permettent soit d’endormir l’ennemi, soit de le rendre fou et de le voir attaquer ses congénères. Pratique. Pour le reste vous serez en terrain balisé, les lames secrètes, les épées, le pistolet ; rien de bien nouveau. C’est lors des batailles en mer que le plaisir de jeu est décuplé, lorsque vous êtes confrontés à un autre navire et que le moindre tir de canon a son importance. Ne sous-estimez jamais la puissance ennemie, capable de vous envoyer par le fond en deux ou trois coups. Lorsque vous abordez un navire, vous devrez tuer certains membres de l’équipage ennemi avant d'enrôler les autres dans votre propre flotte. Une fois sur mer, vous pouvez également simplement choisir d’aller d’une île déserte à l’autre pour y découvrir un trésor, chasser des iguanes ou des ocelots. Les phases sous-marines sont également excellentes ; méfiez-vous de vos réserves d’air limitées, des méduses qui diminuent drastiquement votre niveau de vie, des courants marins ou des requins qui n’hésiteront pas à vous utiliser comme casse-croûte à moins de vous cacher dans les algues. Les changements climatiques sont également bienvenus sur mer, le temps passe facilement du très beau à la tempête et vous serez confrontés à d’immenses vagues (à se prendre de face pour éviter les dégâts) ou à des tornades dévastatrices particulièrement ardues à éviter. A noter également que certaines phases se rapprochent de la plate-forme et évoquent Tomb Raider ou Uncharted ; le décor se détruisant au fur et à mesure de votre avancée. |
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Déjà responsable de l'excellente BO de Far Cry 3, Brian Tyler rempile sur Assassin's Creed : Black Flag. Et rien à en redire, tout en restant dans la lignée des très bonnes compositions de Lorne Baffie ou de Jesper Kyd, Tyler se réapproprie brillamment l'univers de la piraterie et apporte sa touche personnelle aux compositions d'Assassin's Creed (à noter l'excellente musique de la ville de Kingston). Ce n'est pas la première fois qu'un compositeur de musique de films s'attaque au jeu vidéo et ce n'est sûrement pas la dernière. |
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Comme d’habitude dans la saga, la durée de vie est particulièrement imposante. Si vous souhaitez faire le tour de tout, vous en aurez au moins pour trente heures de jeu. Le scénario principal se boucle environ en vingt heures de jeu. Sachez également que la map est très vaste, et que si vous désirez tout découvrir, vous en aurez pour un moment. En plus de cela, un mode multijoueurs très riche vient rallonger considérablement la durée de vie. |
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Après la tragédie familiale d’Assassin’s Creed 3, difficile de trouver le scénario de ce nouvel épisode passionnant. Vous incarnez Edward Kenway, le grand-père de Connor, héros de l’épisode précédent. Edward a quitté sa femme pour se lancer dans la piraterie et obtenir richesses et fortune sur la mer des Caraïbes. On le découvre à travers quelques flashbacks. A part ça, pas grand-chose à signaler, à part l’excellent personnage de Barbe Noire qui personnifie à lui seul la piraterie. Edward s’avère arrogant et sûr de lui, s’occupant de loin du conflit assassins/templiers et ne pensant principalement qu’à sa personne. Cela lui donne un charisme certain à défaut d’en faire un personnage intéressant, jusqu'à ce que celui-ci intègre définitivement l'ordre des Assassins et commence à penser au sens de sa vie. C’est lors des phases dans le présent que le bât blesse, puisque après Desmond Miles (que vous n’incarnerez plus jamais, soyez-en sûrs), vous entrez dans la peau d’un personnage dont on ne sait rien, si ce n’est qu’il travaille pour Abstergo à l’élaboration d’un film sur les pirates grâce à l’animus. Vous apprendrez vaguement par l’intermédiaire d’une voix que les Templiers sont méchants. Voilà tout ce qu’Ubisoft nous propose, et il faut avouer que c’est bien maigre. Heureusement que les phases dans le présent sont beaucoup moins présentes que par le passé, mais il serait peut-être temps de repenser la structure globale d’un Assassin’s Creed, et de simplement enlever ses phases absolument inutiles qui nuisent à l’immersion globale dans le jeu. |
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Assassin’s Creed IV : Black Flag n’échappe malheureusement pas à une certaine redite qui semble inévitable dans la série. Handicapé par des phases dans le présent totalement inutiles, l’histoire ne réussit pas à captiver comme dans l’épisode précédent. En revanche, l’univers proposé est d’une richesse inouïe, et si vous êtes amateurs de rhum et de piraterie, vous y trouverez forcément votre bonheur. Prendre d’assaut des plantations, attaquer d’autres navires, plonger dans les grands fonds pour découvrir des trésors, chasser du requin, chanter avec vos membres d’équipage ; autant d’actions qui feraient passer la saga de films Pirates des Caraïbes pour une aimable promenade de santé.
Yo ho sur l’heure, hissons nos couleurs ! Hissez ho, l’âme des pirates jamais ne mourra ! |
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