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Note générale
GamesUP.ch |
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9.5/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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Xbox 360 |
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| Sur Nintendo 3DS - Ordinateur - PlayStation 3 - PlayStation Vita - Wii U - Xbox 360 |
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COMMENTAIRES |
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| Que dire de plus devant la beauté visuelle que dégage cette pépite ludique qui nous plonge dans des niveaux grouillant de vie où la moindre plante semble vous appelez et vous guidez dans votre aventure. Tout bouge et prend vie sous vos pas comme par magie. Les couleurs sont chatoyantes et en mettent plein les yeux. Les ptizêtres et les nymphes dansent de bonheur et nous avec dans des environnements survoltés qui atteignent un sens du détail qui force le respect. Jamais le moteur maison d’Ubisoft, l’UBlart Framework n’avait affiché des niveaux visuellement aussi fabuleux où la 2D danse en compagnie de plans en 3D et s’incline majestueusement devant les animations qui chatoient littéralement sur des éclairages dynamiques qui donnent vie à un univers cartoonesque génialissime. C’est tellement beau et cohérent que l’on finit par laisser tomber la manette et se mettre à rire devant cette poésie féérique où le moindre gazouillis et une invitation au bonheur !!! |
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| Du bourre-pif à la mode cartoon, on en redemande encore et encore avec un feu d’artifice d’humour et d’espièglerie tellement agréable qu’on devient rapidement un Rayman addict avec pour mission de mettre un grand coup de pied dans les fesses à tous ces grands guignols et de les servir frais et frappé. |
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| Quand on se retrouve face à la référence on ne peut que s’incliner et baiser les pieds à un gameplay ingénieux car tellement simple et accessible. Mais ne vous attendez pas non plus à une promenade de santé car le moindre faux-pas peut illico vous envoyez dans les limbes car jouer les aventuriers sur des niveaux en mouvement et parfois bien périlleux. Entre des phases ou Rayman se prend allégrement pour James Bond en tentant de jouer au chat et à la souris avec des sous-marins qui reniflent votre présence grâce à des sonars et d’autres scènes qui sont un hymne à Indiana Jones en vous demandant de courir, sauter, actionner des mécanismes terribles tout en évitant des attaques sournoises et vous comprendrez que dès le troisième crâne de difficulté débloqué, vous allez souffrir et encore souffrir pour venir en aide à tous vos Petizêtres toujours mis en difficulté dans des recoins improbables. Et votre acolyte Murphy ne sera pas de trop pour venir actionner les nombreux mécanismes ou venir chatouiller vos adversaires avant la mandale finale. Et j’oublie aussi de mentionner les boss de fin de monde qui vont vous faire suer sang et eau et vous demander par moment d’avoir à votre disposition des réflexes de tueurs ou alors d’être aussi calme que les Lums. |
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| Les musiques sont en totales adéquation avec le merveilleux qui se dégage de cette folle épopée et nous emplit les oreilles de mille sons et autres chuchotements, gazouillis et bruits bizarres d’une faune totalement rigolotes au service de personnages attachants et déjà cultes. Le mélange de sonorité médiévale avec des partitions qui se rapprochent de l’univers de James Bond sont autant de clins d’œil appuyés au 7ème art qui nous immergent, aspirent dans une multitude d’univers qui font vibrer notre imaginaire. |
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| Parcourir plus de 120 tableaux remplit de secrets, de féérie, de magie et le temps passe…passe sans que cela importe et c’est là le signe d’un jeu fabuleux. On remonte même aux Origins avec les 40 tableaux les plus marquants de ce titre de légende, on s’égarera dans des parties de Kung-Fu football totalement délirantes, on se retrouvera à gratter des tickets magiques qui vous ouvriront d’autres portes qui recèlent bien des mystères sans oublier des challenges pour mettre à l’épreuve vos amis et on se dit que l’année se terminera en apothéose. Et à plusieurs le jeu devient légendaire… alors est-ce suffisant pour vous dire que ce titre est absolument indispensable et vous offrira des heures et des heures de plaisir. |
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| Dans une contrée idyllique ou la farniente et reine, Rayman et sa bande de joyeux trublions se doit d’aller libérer les Ptizêtres qui se trouvent encore une fois torturé par d’affreux vilains sortit des légendes et autres mythes de notre civilisations. La Grèce antique se retrouve plongée à 20 000 lieues sous les mers sans aucun lien scénaristique et la danse des morts mexicaines donne des frissons de chaleurs à notre héros qui va devoir affronter des créatures fabuleuses et des boss bien vils en sautant d’univers en univers avec une folle désinvolture. |
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| Rayman se devait de venir honorer de son bagout à l’humour ravageur cette année 2013 déjà si riche en titre fabuleux. Flamboyant et bourré d’idées qui nous plongent dans le merveilleux à chaque plan, le titre d’Ubisoft est un précieux trésor à posséder absolument tant il est un hymne à la joie, la poésie et à la bonne humeur qui vous emmènera à la Croisée de vos Rêves. La qualité visuelle est une invitation aux voyages les plus fous, le monde imaginaire proposé une incroyable leçon de poésie artistique. |
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> PAROLE DU RÉDACTEUR
Je terminerai simplement par vous raconter cette petite histoire d’un mec qui détestait copieusement les jeux de plate-forme et qui se retrouve un beau jour avec cette galette entre les mains… Mes yeux se sont illuminés devant ces personnages attachants et cet univers incroyable qui me rappelaient celui d’OZ. Les heures ont très vite défilés à parcourir des niveaux d’une richesse incroyable aussi bien visuelles que d’un point de vue artistique ou fourmillent des petits détails incroyablement accrocheurs et totalement inspirés qui nous plongent dans un univers magique et coloré. Une telle facilité de prise en main et la signature d’un grand jeu et je me suis étonné à chercher dans les recoins de petits trésors, à gravir de hauts sommets mouvants pour y déceler un précieux médaillon et ainsi venir en aide aux nymphes de cet univers merveilleux. Ce jeu risque bien de m’accompagner encore et encore lors de mes voyages histoire que je n’oublie pas que ces sympathiques personnages ont réveillé en moi mon âme d’enfant trop longtemps endormie.
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