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Note générale
GamesUP.ch |
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8/10 |
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Note générale
lecteurs |
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6.65/10 |
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Testé sur |
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Xbox 360 |
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Sur PlayStation 3 - Xbox 360 |
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COMMENTAIRES |
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> Graphisme |
8/10 |
note des lecteurs |
5/10 |
Le style architectural et visuel fait dans le psychédélique gothique en offrant des environnements modernes hyper marqués baignant dans des couleurs criardes à la limite de la faute de goût. Pourtant cette atmosphère permet des sacrés changements de plans, laissant les deux mondes parallèles se superposer naturellement dans un rendu digne d’un trip sous acide. En effet les ennemis vous détectent dans le monde normal et vous aspirent dans celui des limbes où le morphing des lieux se voit totalement chamboulé, vous oppressant sans cesse, vous étouffant, donnant une impression de vouloir vous écraser en permanence. Les démons font apparaître des textes flottant dans le vide lors de scènes charnières donnant une froideur digne d’un Silent Hill. Les protagonistes principaux sont particulièrement marqués à l’opposé de ce que la saga nous avez habitué. Ambiance noire de film fantastique garantie ! |
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> Violence |
10/10 |
note des lecteurs |
9/10 |
Dante a un look androgyne de camé. Il jure, il tue, il se la pète et il découpe en miette les hordes de démons sur des airs de Trash Métal musclés à grand coup de pétarade et de gestes obscènes. DMC n’est pas un produit destiné aux jeunes enfants, point barre ! |
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> Jouabilité |
8/10 |
note des lecteurs |
7/10 |
Les habitués de la saga ne seront pas trop perdus car les combos s’enchaînent toujours sur une base de 3 boutons d’action et un de saut. En les mixant et en changeant d’armes en plein milieu, on parvient à faire des jolies exécutions de style sur l’ensemble des 20 chapitres qui composent le jeu. Ivory et Ebony font toujours partie intégrante de l’arsenal de base de Dante ainsi que sa célèbre épée. Mais la grosse nouveauté vient de Arbiter et Osiris qui sont respectivement des items nécessaires à l’avancement et à la résolution des énigmes (si il y en a !) en propulsant les objets et les ennemis au loin ou bien vers soit. Ses objets démoniaques se retrouveront assez rapidement dans votre arsenal de base avec bien d’autres surprises. Le seul bug coutumier à la série reste la caméra qui parfois joue les divas de la visibilité en devenant brouillant par moment et ce DMC ne déroge pas à la règle. Les orbes de couleur rouge, laissées par les ennemis anéantis sont bien présentes et permettent de customiser armes et techniques. Un petit coup de boost nécessaire qui reste salvateur face à la difficulté croissante des missions. |
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> Bande-son |
7/10 |
note des lecteurs |
6/10 |
Des compositions bien trash métal et des doublage en français de qualité. Rien à ce niveau ne vient perturber les scènes qui se retrouvent parfaitement mises en valeur par la qualité des compositions qui donnent la pêche et surlignent de mille explosions les joutes diaboliques de Dante. Les bruitages et les cris des bestioles sont justes énormes. Du bon boulot de la part des compositeurs. |
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> Durée de vie |
8/10 |
note des lecteurs |
7/10 |
La durée de vie dépend essentiellement du niveau de difficulté sélectionné et des temps de chargements qui sont pour ainsi dire interminables. Mais les 20 chapitres se parcourent en 10 heures, tout au plus. Les combats contre les boss sont plutôt longs mais la technique n’est pas vraiment primordiale pour gagner. On sent que la prise de risque se limite à vraiment plaire à tous les types de publiques, à ce niveau, les check points sont plutôt nombreux. Des missions bonus cachées sont aussi au programme demandant avec comme objectif de les réussir sous certaines conditions. Bien entendu, il faudra terminer le jeu plusieurs fois pour débloquer le tout à 100%. Capcom annonce déjà un mode Bloody Palace en DLC dans les prochaines semaines à venir qui consistera à gravir les étages d'un grand édifice avec une difficulté croissante qui culminera au démoniaque. |
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> Scénario |
5/10 |
note des lecteurs |
5/10 |
L’histoire reprend logiquement la trame de Dante vs Mundus, normal vu qu’il s’agit d’un reboot du premier opus. Bien entendu pour son passage entre des mains anglaises, le jeu se voit affublé d’une narration plus sombre aux dialogues plus crus et aux tournures irrévérencieuses. Vergil le frère de Dante se dévoile sous un aspect des plus inattendu. Vous l’avez certainement bien compris, le scénario n’est pas franchement ce qui se fait de plus intellectuel dans le genre et sert de prétexte à l’action et au bain de sang au milieux des limbes. Heureusement, Dante ne sera pas seul dans cette galère et il sera accompagné dans son périple meurtrié par Kat, une mystérieuse jeune femme, qui lui prêtera main forte en le guidant et en l’aidant à l’aide de sa magie noire. |
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> Note finale |
8/10 |
note des lecteurs |
6.65/10 |
Ninja Theory remplit sa mission avec intelligence en proposant un reboot doté d'une patte esthétique indéniable. Cependant, on sent que Capcom était derrière le projet, les empêchant de trop sortir des limites que la licence impose. Dommage, car Dante se retrouve dans un excellent jeu d’action qui aurait mérité de s’épanouir encore un peu plus en suivant le délire ouvert par les anglais. DMC est un Beat’em all d’excellente qualité et abordable mais qui reste frileux, là où Platinium Games avec Bayonetta osait mettre un bon coup de pied dans les parties de notre cher Nephilim à la tignasse argentée, en innovant ! |
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