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LittleBigPlanet
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  Note générale
GamesUP.ch
8/10
  Note générale
lecteurs
Non noté
  Testé sur
 
PlayStation Vita
Sur PlayStation Vita

Les

+

> Graphisme foisonnant, joli, effets de lumières travaillés
> Bande-son réjouissante et diverse
> Gameplay très travaillé, la présence du tactile salvatrice
> Grosse durée de vie si on s'investit au minimum
> Les options de création et de partage favorisant le maintient d'une communauté solidaire et sympathique
> La tronche de Sackboy :D
 

Les

> Trop simple, le mode histoire est horriblement court!
> Trop de LBP, tue le LBP? 4 épisodes en 4 ans, attention à ne pas trop en faire, messieurs de chez SONY ;)

En marge du Tokyo Games Show 2012 se déroulant à l’heure où ce test sera paru sur vos écrans et où la VITA regagne très doucement des couleurs avec des éditeurs tiers prestigieux comme Namco et Tecmo Koei qui décide enfin de soutenir la machine, SONY continue de porter sa petite perle de technologie autant que faire ce peut. Et pour cela, des licences phares du constructeur japonais sont utilisées, non sans une qualité tout à fait réjouissante. Déjà paru, Uncharted : Golden Abyss et WipEout 2048 ne sauraient me contredire. Voici le tour en cette rentrée scolaire de Little Big Planet, dont la preview est toujours disponible sur Consoles-Otaku. L’heure du verdict est donc toute proche.

Graphismes: 8/10
Les graphismes de ce soft sont d’une maîtrise incontestable. L'univers de Little Big Planet arborant toujours des décors composés de bric et de brocs, association de matières et de formes donnent un côté authentique au tout. Frais, inspiré, rigolo et surprenant. Les effets de lumières sont aussi à noter grâce à leur gestion intelligente afin de donner la vedette aux décors et sertir le soft d’une ambiance toute particulière, adapté à chaque thème des 5 mondes.

Scénario: 4/10

C’est vrai que dans un Little Big Planet, on n’a pas franchement besoin d’un scénario pour s’amuser. L’identité visuelle, sonore et le gameplay du soft faisant pour ainsi dire tout. Mais ce n’est justement pas comme si Little Big Planet ne bénéficiait pas d’un univers puissant, remarquable. Alors pourquoi ne pas commencer à réclamer un semblant d’histoire à la Pixar ou Dreamworks par exemple ? Toujours est-il que ce 4 est à prendre, ou pas, en compte dans la note finale, selon vos exigence en tant que connaisseurs de la licence. Si vous tenter pour la première fois l’expérience LBP, inutile de vous y attardez.

Jouabilité : 8/10
Ici, on ne réinvente pas le concept de la saga. Double Eleven et Tarsier Studios ont pourtant fait un boulot remarquable en y ajoutant une ou deux options supplémentaires et en optimisant au maximum la recettes de base. La venue du tactile change même pas mal de chose, en les améliorant cela va de soi ! Pimentant un peu l’expérience, le tactile sert un mode création toujours plus intuitif, LBP VITA est sans conteste le plus développé de toute la saga en terme de jouabilité. Seul hic, la trop grande facilité du mode histoire, plus qu’enfantine, dommage.

Bande-son: 7/10
Comme il est de coutume avec les Little Big Planet, celle-ci fait preuve d’une diversité exceptionnelle dans les compositions, ratissant large et collant aux thèmes visuels abordés. Musique tzigane à la guitare sèche légère et enjouée, techno bontempi des années 80, musique digne des vieux films d’épouvante et thriller maître du genre à la Psychose et plein d'autre style. L’ensemble est tout de même un peu moins vaste que l’OST de Little Big Planet 2 étant donné que le mode histoire et à fortiori le nombre de thème est plus court. À noter une très bonne chose, les doublages sont intégralement en français.

Durée de vie: 9/10
D’un côté, le mode histoire horriblement court, 5 heures plus ou moins, déçoit profondément. Ayant plus des airs de gros didacticiel pour vous préparez au plat de résistance. Plat de résistance qui par ailleurs ne viendra jamais, si jamais vous ranger le jeu dans votre placard une fois l’histoire principale terminée. Comprenez par là que si vous ne voulez pas tester les centaines de millier de niveaux produit par les fans sur le PSN, ce fameux mode histoire/tutoriel, vous le vivrez réellement comme tel ! D’un autre côté, la durée de vie peu facilement dépasser la centaine d’heure d’amusement si vous daigniez vous intéresser au mode création. Intuitif, complet, il permet réellement l’étalement de votre inventivité et vos coups de folie et déjà aujourd’hui, à quelques jours de la sortie, une dizaine de millier de niveau ont été créé à travers le monde. Ajouter à cela la compatibilité des millions de niveaux inventés sur LBP 2, et vous obtiendrez une somme d’heure de jeu absolument fantastique.

Violence: 1/10
Aucune violence dans Little Big Planet, ou alors si peu impalpable que personne ne peut s’en rendre compte de façon naturelle. Il faut vraiment le vouloir et y faire attention pour la percevoir. Déjà que les combats sont rares, les mimiques des personnages et l’attitude gestuelle de Schtroumpf du petit Sackboy tend plutôt à faire sourire.

Note finale : 8/10
De là a dire que c’est le meilleur opus de la licence, il n’y a qu’un pas. Très joli, parfaitement adapté à l’écran OLED de la VITA en terme de gestion de la lumière et de dimension des éléments qui constitue le décor, il est en plus de ça littéralement jouissif d’un point de vue maniabilité. Si on consent à vivre l’expérience jusqu’au bout, on est bien partit pour jouer plusieurs dizaines d’heure; moi-même j’y ai passé des soirées formidables à créer et échanger des nombreux niveaux avec mes amis. Comble du plaisir, le tactile arrive à se faire indispensable tant il est bien conçu, mais en aucun cas obligatoire. C’est une valeur sure absolue de la VITA, et elle en a grandement besoin.


Comme il est dit dans la preview du jeu qui nous intéresse aujourd’hui (il parait que c’est une façon agréable d’expliquer les choses, alors tant qu’à faire, je m’y remets), le concept de Little Big Planet tient en trois mots, un slogan commercial ma foi tout à fait explicite trouvé par les esprit ingénieux de chez Media Molecule. "Play, Create, Share". Difficile de faire plus évident, n’est-ce pas ?
Le jeu prend la forme, à l’image de ses deux valeureux aînés sortit sur Playstation 3, d’un city builder comme SimCity, mais là où des immeubles et diverses autres structures sont bâtit dans l’un, vous devrez placer des plates-formes et créer un parcours pour passer outre les obstacles dans l’autre. Ajouter à cela un brin de démence rigolote comme dans un Rayman 2D ou ce modeste mais tellement chouette Tales from Space : Mutant Blobs Attack !!! (oui, oui, c’est le titre du jeu, avec trois points d’exclamation) et vous aurez peu ou prou l’ambiance du soft. Ambiance au sens large du terme, car ce qui a de plus atypique dans la série Little Big Planet, c’est bel et bien son rendu visuel. Un véritable patchwork d’inspiration et d’effet graphique qui créer un global homogène de fort bonne qualité. Ce côté bordélique donne une touche d’authenticité, de fraîcheur et de naturel au jeu, bien loin des canons du genre HD où les graphismes et le design doivent être calculés au pixel prêts, aseptisés, consensuels pour plaire à la plèbe. C’est compliqué à décrire, mais tellement rafraîchissant et plaisant.

Et ce côté léger et décalé se retrouve dans touts les aspects du titre, à commencer par son scénario. Ce bon vieux, et toujours aussi souriant Sackboy se voit à nouveau embarqué dans un tas d’aventure délirante, le menant cette fois-ci à travers 5 mondes à thématiques variés (le futur, la maison hantée, la foire, la végétation et la ville) eux-mêmes composés d’une dizaine de niveaux chacun. Une dimension scénaristique réellement très pauvre mais qui n’est absolument pas indispensable pour savourer le jeu dans son ensemble. L’essentiel du jeu se concentrant sur son gameplay et sa nature d’échange participative (coucou Henry Jenkins) et sa patte visuelle avant tout. D’une richesse rare pour un jeu de plate-forme 2D, les environnements pullulent, foisonnent, débordent de vie et de détails drôles, inquiétants, mystérieux, curieux… le fond animé n’a jamais été aussi mouvementé et n’a jamais fait tant d’ombre au premier pan du décors, là où se passe l’action, la vrai. Une prouesse fantastique de maîtrise et d’organisation pour faire se mouvoir tout cela sans que ça ne gêne en rien la visibilité du parcours. Le cachet si particulier de la franchise, faite à partir de personnage en carton-pâte ou en poupée de chiffon munie de fermeture éclair, et de couleurs légèrement vieillis dut à un jeu d’ombre et de lumière qui donne l’impression d’être sur une planche de théâtre, rend là encore un résultat formidable d’inventivité. Little Big Planet VITA n’est en rien comparable à ce qui se fait de mainstream depuis les 10 dernières années. Si vous voulez une nouvelle sensation graphique (et si vous n’avez pas encore touché aux opus précédents, cela va de soi), c’est le jeu qu’il vous faut !

Côté gameplay, il est de bon ton de préciser deux ou trois petites choses afin de bien comprendre l’essence de l’expérience proposé par le jeu. Sackboy est un petit bonhomme « cool la vie » comme on dit. Il ne sautera pas plus haut que sa propre taille, et sa démarche mollassonne pourrait le faire passer pour un nain de jardin à plus d’un égard. En outre, il ne vous sera pas demander de combattre, de bondir sur la tête d’ennemi à profusion pour les écraser, ou calculer un saut millimétré dont l’échec à répétition donnerez des frissons à plus d’un d’entre nous. Car le but primaire du jeu, dans chacun des niveaux qui le constitue sera d’utiliser la kyrielle d’élément du décor pour le démonter, et le re-fabriquer autrement, d’une manière à ce que vous puissiez progresser. Ainsi, vous devrez saisir blocs, pousser estrades, brandir échelles et escaliers amovibles, lancer projectiles, presser interrupteurs, pousser portes et grimper sur des plates-formes à roulettes pour avancer. LBP VITA, c’est un amoncellement de mécanisme et de puzzle, et là où ses grand frère sur console de salon avait ouvert la voie de bien belle manière, celui-ci la perpétue avec beaucoup de soin en se payant même le luxe de faire entrer dans l’équation le pad tactile de la machine. Là, autant vous le dire tout de suite, on touche au génie.

Double Eleven et Tarsier Studios, co-auteur de cette version portable sous la houlette attentive du studio créateur Media Molecule a repris dans son intégralité le gameplay d’origine, autant dire qu’ils n’ont pas réinventé l’eau chaude. Certes. Mais là où le soft se démarque (et c’est une tendance évidente depuis la sortie de la machine, avec tout les titres développer par les studio SONY), c’est qu’il tire partie du pad tactile. Si sur la recette originale, s’amuser à tourner et retourner un tas de bloc était amusant, il faut avouer que le joystick du Dualshock 3 de la Playstation 3 n’était pas tout à fait optimal pour ce genre d’opération à répétition. Là, le toucher sera votre arme la plus fatale. D’une simple pression du doigts, vous pourrez renverser les décors et vous construire un chemin en deux temps trois mouvements. Pour ne pas s’y perdre et bien segmenter vos possibilités d’action, tout fonctionnera par code couleur. Les éléments bleutés seront utilisables via le tactile avant. Les éléments en vert le seront via le pavé arrière. On fait glisser ça, ici, et ce truc là, quelque part plus loin, hop, c’est terminé. Ça va vite, c’est d’une fluidité exemplaire, et d’une facilité déconcertante, trop même. Mais c’est jouissif, absolument pas prise de tête. Mais ce qui a de génial, c’est que jamais, ou si peu, on a l’impression de reproduire trop de fois la même action. Et c’était un des points importants auquel nous n’avions pas eu d’éclaircissement lors de notre preview.
À travers les 5 mondes, des petits jeux et des trouvailles sympathiques vous seront proposé, tout cela en faisant participer le tactile bien évidemment. Vous pourrez donc, dans le mode histoire, condensé total de la variété que propose le soft dans son ensemble, contrôler un buggy adhésif, se balancer au bout d’un grappin façon Skyward Sword, guidez des missiles télécommander, et même se mouvoir via la gestion de la gyroscopie de la VITA. Un véritable concentré des possibilités techniques de la VITA qui servent non seulement la variété des objectifs du jeu, mais aussi les sensations éprouvées par le joueur. Little Big Planet est à nouveau une superbe vitrine technologique pour la console qui le porte en son sein. Si il y a bien une chose que l’ont ne peut reprocher à SONY et sa console portable, c’est de proposer des productions qui exploitent à 100% les spécificités de la machine.
Ajouter à cela une multitude de mini-jeux déjà évoquer comme le pilotage d’un vaisseau spatial, qui peut s’effectuer seul ou à plusieurs via la connexion au net de votre console, et vous aurez droit à de régulier bol d’air frais. Un changement permanent, une adaptation de tout les instants et un apprentissage minute après minute seront requit pour profiter pleinement du gameplay du titre.
Little Big Planet VITA est à coup sur le soft de la licence le plus évolué en matière de jouabilité.

Mais, parce qu’il y a un mais, chère madame (ou monsieur hein). Le soft dans son mode principal, le mode histoire donc, se fait affreusement court, 5 heures, 6 tout au plus. Et ce pour plusieurs raisons. La plus évidente étant que le soft est dans son ensemble d’une facilité ridicule, abusive, déconcertante, bref, il répond aux cahier des charges d’un jeu de plate-forme de notre ère. Pour faire clair, Sackboy dispose d’une réserve de vie infinie, et les combat, déjà que très rares et en plus d’être très simples d‘accès, sont enregistrés très, très régulièrement. Ainsi, le moindre dégât est sauvegardé et si jamais vous commettez une bourde qui vous conduit à l’échec, vous reprendrez la partie au moment ou le vil mécréant a encaissé le dernier dommage. Et il y a pire ! Ennemi ou pas présent sur votre chemin, il m’est déjà arrivé de mourir (comme une nouille, merci Squall pour cette précision essentielle), et de respawn (réapparaître si vous préférez) quelques mètres… plus loin, derrière l’ennemi qui m’avait occis auparavant. Ainsi, je pouvais continuer mon chemin sans demandez mon reste tandis que le mob se demandait où est-ce que j’étais passer. Dans toute ma vie de joueur, je n’ai jamais vu de chose aussi stupide, mais sur le coup, aussi hilarante ! Cerise sur le gâteau, on est même pas sur qu’il s’agisse d’un bug ou d’une véritable volonté des développeurs de faciliter encore un peu plus la progression.
N’empêche que cela a des répercussions. Vous pouvez en effet enchaîner la cinquantaine de mort si ça vous amuse de torturer ce sympathique Sackboy, mais en aucun cas vous ne serez pénalisé par le jeu pour votre maladresse. Pas de perte de vie donc, ni de point de compétence quelconque, pas plus que de disparition d’objets vous aidant à franchir un obstacle sans avoir recours à des réflexes de guépard… Les boss en sont d’autant plus grotesque. En général (pour ne pas dire dans tout les cas), il suffit de mettre en œuvre ce que vous avez appris à faire d’un point de vue maniabilité quelques minutes auparavant. Le mode histoire, en plus d’être court et simple, à donc des allures un peu trop prononcées de didacticiel à rallonge, simple mise en bouche avant de vous lancer dans le grand bain.

Le grand bain ? Oui, la fonction d’édition et de partage de niveau pardi ! Et heureusement qu’il est là le bougre, sinon, le soft perdrait cruellement en intérêt (quoique, sans ça, les développeurs auraient probablement durci le ton sur le mode histoire, il faut l’espérer). Souvenez vous de ce que j’ai dis au début du test (celui qui s’en souvient s’en remonter la page pour allez vérifier, il gagne un Carambar) : "Play, Create, Share". Et là, on arrive dans le second segment du concept Little Big Planet, la création et le partage. Inutile de se donner tout un tas de proportion pour tenter d’estimer l’importance que prend cet élément dans le gameplay du soft, il suffit de se dire que déjà des dizaines de millions de niveaux créer via Little Big Planet 2 sont compatibles avec la fonction cross-play sur VITA. Ca donne un ordre d’idée assez clair, et à fortiori, une durée de vie potentielle incalculable.
Aussi simple d’utilisation que ceux de ses aînés, et encore plus complet, le mode éditeur vous proposera donc de créer vos propres niveaux et de les partager à travers le monde pour le peu que vous possédiez un compte sur le Playstation Network. Des centaines d’objets sont disponibles, un peu plus que pour les épisodes PS3 par ailleurs, et d’autres sont disponibles uniquement en DLC (mais aucun d’entre eux n’est indispensable pour créer un niveau réellement intéressant et fourni). Construire le sol, puis y placer du relief, des obstacles, des mécanismes nécessitant le tactile ou pas, changer le sens de certain éléments et déterminer le nombre de joueur que votre création peut accueillir, le nombre de checkpoint ou d’ennemi… tout y est ! Le vice y est poussé à l’extrême via la création d’objet à partir d’une photo prise avec l’appareil intégré de la VITA ! Un coup de génie ! Photographier, remodeler à votre convenance, appliquez-y des textures (bois, tissu, laine…) et placer-le dans votre patchwork de plate-forme et le tour est joué. Tout cela garanti une diversité absolue de niveau, rien ne se ressemble, et ainsi, le nombre de niveau intéressant explose très vite. La durée de vie s’en ressent, garanti. Pour finir, découper des pan du décors, peignez-les au doigts, et profitez de l’espace de stockage très vaste pour enregistrer vos création, et vous obtiendrez un mode éditeur extrêmement complet, jouissif, simple d’utilisation et vraiment amusant.

Évidemment, vous ne réussirez probablement pas à créer un niveau attrayant à la première tentative. Ne serait-ce que de par le fait qu’il faut savoir gérer le moteur physique du jeu, connaître les interactions entre le personnage et les différents éléments des décors. Comment bouge tel bloc, comment rebondi tel élément, comment saute Sackboy dans telle ou telle condition ? De nombreux coup d’essais et d’importantes séances de test seront nécessaires pour construire un niveau autant amusant que suffisamment dur, et paradoxalement abordable pour être intéressant. Et là où ça devient sympathique pour ceux qui n’ont pas le temps ou la volonté de s’investir dans un mode d’édition certes exhaustif mais exigeant, c’est qu’il pourra filtrer et affiner ses recherches via de nombreuses options pour trouver les types de niveaux précis qu’il aimerait tenter. Tout est fait pour favoriser la communauté, du centre du concept de base datant de 2008, année de sortie du premier LBP, jusqu’à la moindre option de conception d’un niveau personnalisé sur cette dernière mouture VITA. Et là ou justement, la version PSP manquait juste un peu de ce genre de petite feature de partage, la VITA ne rate pas le coche et s’octroie tchat vocal et ajout d’amis dans une liste de contacts liés au jeu afin d’émuler l’échange.

Little Big Planet est clairement un des tout meilleur jeu du catalogue VITA, cela ne fait plus aucun doute. Il s’annonçait complet, respectueux des bases et se permettant d’ajouter encore quelques options manquante aux recettes précédentes. En résulte un jeu à la fois étonnement bien achevé, pour ne pas dire le plus exhaustif de la saga, et en plus de cela amusant comme tout ! Bien que trop simple, la durée de vie via le système de création de niveau et de partage devient littéralement intersidéral, passant allégrement de 5 petite heures à plusieurs centaines d’heures de plaisir ! Plaisir sans cesse renouveler car les possibilités de création sont variées, multipliées aux modes de penser des millions de joueurs à travers la planète. La VITA en avait besoin en cette fin d’année, ne serait-ce que pour faire patienter encore un tout petit peu les joueurs qui commencent réellement à s’impatienter, en attendant que les Metal Gear Solid, Final Fantasy, GTA et autres Bioshock (je cite ceux-là parmi tant d’autre) n’arrivent.

Testé sur PlayStation Vita par Anakaris

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> Violence 1/10    
Aucune violence dans Little Big Planet, ou alors si peu impalpable que personne ne peut s’en rendre compte de façon naturelle.
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Ici, on ne réinvente pas le concept de la saga. Double Eleven et Tarsier Studio ont pourtant fait un boulot remarquable en y ajoutant une ou deux options supplémentaires et en optimisant au maximum la recettes de base. LBP VITA est sans conteste le plus d
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Comme il est de coutume avec les Little Big Planet, celui-ci fait preuve d’une diversité exceptionnelle de compositions, à noter une très bonne chose, les doublages sont intégralement en français.
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> Durée de vie 9/10    
Faites l'effort de tenter de créer vos niveaux et essayer ceux des autres, et vous ouvrez la porte à 100h de jeu!
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> Scénario 4/10    
Ce 4 est à prendre, ou pas, en compte dans la note finale, selon vos exigence en tant que connaisseurs de la licence. Si vous tenter pour la première fois l’expérience LBP, inutile de vous y attardez.
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> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
Version:
Genre: Plates-formes/ Création
Age: dès 7 ans
Nombre de joueurs: 1
Online: Non
Date de sortie: 19 Septembre 2012
Editeur: Sony Computer Entertainment
Site officiel: http://www.mediamolecule.com/
Développeur: Media Molecule
> PAROLE DU RÉDACTEUR